Quelle serrure de porte choisir et à quel prix ?

A bien des égards, la serrure représente la sécurité qui assure l’inviolabilité d’un domicile. Il est donc évident lorsque l’on veut la choisir de s’intéresser avant tout à sa capacité à résister à d’éventuels cambriolages. Bien entendu, d’autres critères rentrent également en jeu dans ce choix. Il s’agit entre autres de l’aspect esthétique de la serrure, du budget dont vous disposez et des différentes spécificités du domicile pour lequel vous avez besoin d’une serrure.

L’aspect sécuritaire

Comme déjà précisé, le critère sécurité renvoie simplement à la capacité de résistance d’une serrure. Il existe à cet effet une appréciation normalisée qui définit le niveau de sécurité d’une serrure. Il s’agit de la certification Assurance Protection Prévention (A2P). Cette certification détermine 4 catégories de serrure selon leur résistance. En bas de l’échelle on trouve les serrures qui présentent une durée de résistance de moins de 5 min et qui sont identifiées A2P.

Viennent ensuite les serrures A2P1 dont le temps de résistance se situe entre 5 et 10 minutes.  En toute logique la troisième catégorie est celle dont le temps de résistance est compris entre 10 et 15 minutes et dont les serrures sont certifiées A2P2. Les serrures les plus résistantes sont celles dont le temps de résistance est supérieur à 15 minutes. Elles sont certifiées  A2P3.

Le prix

A côté de l’aspect sécuritaire qui est le premier critère du choix des serrures dans la plupart des cas, on trouve l’aspect esthétique et le coût qui ont également une importance non négligeable. Pour ce qui concerne le prix des serrures, les plus performantes sur le plan sécuritaire sont de manière logique les plus coûteuses.

Les prix varient de 10 euros pour une entrée de gamme à plusieurs milliers d’euros pour le haut de gamme qui comporte presque exclusivement des modèles A2P3. Le caractère esthétique est généralement défini par le type de serrures. Ainsi on retrouve deux principaux types de serrure que sont : les serrures en applique et les serrures encastrées.

Quoi qu’il en soit, le mieux est de faire appel à un professionnel pour le choix d’une serrure appropriée.

5 questions à se poser avant de changer votre système de chauffage

À bien des égards, la question du chauffage domestique est central. Non seulement elle implique le confort et dans une certaine mesure la santé, mais elle concerne aussi l’impact qu’on peut avoir sur l’environnement en fonction des choix énergétiques que nous faisons. Changer son système de chauffage soulève donc des questions qui sont relatives à ces différents aspects.

La question de la période

Il est évident qu’entreprendre le remplacement du système de chauffage doit prendre en compte la période en cours. En effet, de nombreux éléments aussi bien humains qu’artificiels ou naturels peuvent influencer l’ensemble des travaux. Qu’il s’agisse de la saison, d’une exigence administrative ou simplement d’une indisponibilité physique, il est important de considérer l’aspect temporel avant le début des travaux.

La question de l’isolation

Il est en effet important d’apprécier de manière sérieuse les performances thermiques d’un domicile avant d’envisager de refaire son système de chauffage. Contrôler l’isolation du sol, des murs, de la toiture et des ouvertures permet de dresser un bilan exact des besoins en énergie de l’habitation et de prévoir, avec le conseil d’un professionnel, le système de chauffage adéquat.

La question du combustible

En fonction du rendement attendu, du budget disponible, des exigences environnementales et de l’ampleur des travaux, tout combustible peut s’accorder au projet. Il est toutefois possible de combiner deux types de combustibles pour, entre autres, réduire la dépendance énergétique à une seule source.

Le budget

Vous devez disposer du budget nécessaire au financement de travaux que vous souhaitez entreprendre. Il ne s’agit pas uniquement de la performance thermique, mais également des impératifs écologiques et dans une certaine mesure, des préférences esthétiques.

le choix de l’énergie

A côté de la préservation de l’environnement, il est vrai que les énergies renouvelables sont de plus en plus performantes et de moins en moins chères. Elles semblent donc être une alternative des plus intéressantes.

Quelle peinture choisir pour agrandir une pièce de votre maison ?

Voilà des conseils qui seront bien utiles à bon nombre. Certaines pièces de votre maison vous semblent peu spacieuses et vous aimeriez y remédier sans passer par des coûteux travaux de maçonnerie ? Nous vous proposons quelques astuces simples et accessibles à tous qui permettront de donner du volume aux pièces de votre domicile grâce notamment au choix des peintures qui couvriront vos murs et éventuellement votre plafond.

Les couleurs claires

De manière générale, le blanc est la couleur qui permet de donner du volume aux pièces. Cependant, si son aspect neutre vous pose un problème, vous pouvez toujours opter pour des tons moins impersonnels. Choisissez des teintes claires qui réfléchissent bien la lumière. Un mariage de nuances pastel entre le sol, les murs et le plafond saura apporter une belle impression de volume. Vous poussez aussi allier un plafond blanc avec une couleur plus chaude sur les murs qui s’accorde au blanc, à l’exemple du jaune.

Les contrastes

Vous pouvez également jouer sur les contrastes pour donner de l’espace à vos pièces. Alterner les nuances d’un mur à l’autre aura un résultat particulièrement satisfaisant. Vous pouvez aussi donner une couleur claire au plus grand mur et des nuances plus foncées aux autres murs. L’astuce fantaisiste qui pourtant fait bien illusion est de peindre sur une couleur claire une bande horizontale de la même couleur vive que celle du mur qui lui fait face.

Rehausser le plafond

Les couleurs claires sont particulièrement indiquées pour produire des effets de volume qui corrigent le problème du plafond bas, surtout lorsqu’elles sont associées à des murs plus foncés. Pour plus d’effets visuels, notamment pour le volume, vous pouvez ajouter des rayures verticales sur les murs. Optez pour des rayures horizontales pour rehausser le plafond.

Tout savoir pour créer son entreprise en tant que paysagiste

Etre paysagiste est une activité professionnelle particulièrement complexe parce que le champ d’application est vaste. Cela nécessite donc une longue expérience dont l’acquisition vous coûtera sans doute quelques déboires. Toutefois, ce qui importe le plus, c’est de pouvoir exercer votre passion en toute sérénité. de manière générale, les débuts d’une entreprise de paysagiste obéissent à deux principaux critères : les critères formels ou institutionnels et la dimension sociale.

Les critères formels

A ce niveau, les démarches administratives constituent les éléments formels à prendre en compte pour la création d’une entreprise. Il s’agit avant tout de la réalisation d’un business plan qui vous permettra d’établir un profil viable de votre entreprise, ceci afin de convaincre les investisseurs. Le second élément formel est la forme juridique qu’il convient de donner à l’entreprise. Il existe à cet effet plusieurs statuts qui correspondent à des structures précises.

Selon que vous prévoyez avoir ou non un personnel et des associés, vous pouvez opter pour l’EIRL, la SARL ou la SAS. En fonction des cas, vous pouvez également choisir le statut d’auto-entrepreneur ou le service à la personne. En ce qui concerne la formation exigée, même si aucun diplôme n’est nécessaire pour se lancer, il existe néanmoins une réglementation si vous utilisez des produits phytopharmaceutiques ou des biocides.

Les critères subjectifs

A cause de son vaste champ d’application, le métier de paysagiste exige une attitude précise quand on commence. Il s’agit de privilégier la dimension humaine et de développer des rapports chaleureux avec vos potentiels clients. N’hésitez pas par exemple de préciser à vos clients que vous commencez dans le métier. Ne cachez pas votre inexpérience et privilégiez une relation de confiance qui permettra de fidéliser vos clients

Les conseils à savoir pour devenir maçon à son compte ?

Il faut bien se le dire, la maçonnerie est un métier particulièrement physique. Même si les conditions de travail se sont nettement améliorées avec l’évolution des technologies qui permettent notamment de tracter les charges lourdes par des machines, l’exécution du gros œuvre des bâtiments nécessite toujours une dépense physique importante. Toutefois, c’est un métier qui a des perspectives d’emploi satisfaisantes. Ainsi, si vous voulez vous lancer à votre compte, voici quelques conseils qui vous seront d’une grande utilité.

Le cursus académique

Parce que c’est un métier spécialisé, la maçonnerie commence par l’obtention d’un diplôme dont le degré va dépendre de vos motivations. De manière formelle voici la liste des diplômes qui vous donnent accès au métier de maçon.

– Le CAP en maçonnerie
– Le CAP constructeur en béton armé du bâtiment
– Le BP maçonnerie
– Le BAC professionnel technicien du bâtiment
– Le BAC professionnel intervention sur le patrimoine bâti, option maçonnerie
– Le BTS bâtiment.

Une option informelle peut aussi déboucher sur la qualification professionnelle en tant que maçon. Il suffit dans ce cas de bénéficier d’un minimum de trois années d’expérience.

Les procédures

Si votre intention est de vous mettre à votre compte, il faut observer certaines normes sur le plan administratif. Vous devez notamment vous inscrire auprès de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat et choisir le régime juridique de votre entreprise. Vous devez aussi participer au Stage de Préparation de l’Installation. Après l’obtention de votre numéro SIRET, vous pouvez commencer à exercer.

Il faut noter que le chiffre d’affaires de l’activité de maçon en tant qu’auto-entrepreneur se plafonne à 33 200 € appelé  » plafond de franchise de TVA » et 70 000€ appelé « plafond du statut auto-entrepreneur« , vous avez l’obligation de faire vos déclarations mensuellement ou trimestriellement même si votre chiffre d’affaire est nul. Pour ce qui est de l’assurance, vous n’êtes pas tenu de prendre une assurance décennale mais le mieux c’est d’y souscrire.