Quelle peinture choisir pour agrandir une pièce de votre maison ?

Voilà des conseils qui seront bien utiles à bon nombre. Certaines pièces de votre maison vous semblent peu spacieuses et vous aimeriez y remédier sans passer par des coûteux travaux de maçonnerie ? Nous vous proposons quelques astuces simples et accessibles à tous qui permettront de donner du volume aux pièces de votre domicile grâce notamment au choix des peintures qui couvriront vos murs et éventuellement votre plafond.

Les couleurs claires

De manière générale, le blanc est la couleur qui permet de donner du volume aux pièces. Cependant, si son aspect neutre vous pose un problème, vous pouvez toujours opter pour des tons moins impersonnels. Choisissez des teintes claires qui réfléchissent bien la lumière. Un mariage de nuances pastel entre le sol, les murs et le plafond saura apporter une belle impression de volume. Vous poussez aussi allier un plafond blanc avec une couleur plus chaude sur les murs qui s’accorde au blanc, à l’exemple du jaune.

Les contrastes

Vous pouvez également jouer sur les contrastes pour donner de l’espace à vos pièces. Alterner les nuances d’un mur à l’autre aura un résultat particulièrement satisfaisant. Vous pouvez aussi donner une couleur claire au plus grand mur et des nuances plus foncées aux autres murs. L’astuce fantaisiste qui pourtant fait bien illusion est de peindre sur une couleur claire une bande horizontale de la même couleur vive que celle du mur qui lui fait face.

Rehausser le plafond

Les couleurs claires sont particulièrement indiquées pour produire des effets de volume qui corrigent le problème du plafond bas, surtout lorsqu’elles sont associées à des murs plus foncés. Pour plus d’effets visuels, notamment pour le volume, vous pouvez ajouter des rayures verticales sur les murs. Optez pour des rayures horizontales pour rehausser le plafond.

Tout savoir pour créer son entreprise en tant que paysagiste

Etre paysagiste est une activité professionnelle particulièrement complexe parce que le champ d’application est vaste. Cela nécessite donc une longue expérience dont l’acquisition vous coûtera sans doute quelques déboires. Toutefois, ce qui importe le plus, c’est de pouvoir exercer votre passion en toute sérénité. de manière générale, les débuts d’une entreprise de paysagiste obéissent à deux principaux critères : les critères formels ou institutionnels et la dimension sociale.

Les critères formels

A ce niveau, les démarches administratives constituent les éléments formels à prendre en compte pour la création d’une entreprise. Il s’agit avant tout de la réalisation d’un business plan qui vous permettra d’établir un profil viable de votre entreprise, ceci afin de convaincre les investisseurs. Le second élément formel est la forme juridique qu’il convient de donner à l’entreprise. Il existe à cet effet plusieurs statuts qui correspondent à des structures précises.

Selon que vous prévoyez avoir ou non un personnel et des associés, vous pouvez opter pour l’EIRL, la SARL ou la SAS. En fonction des cas, vous pouvez également choisir le statut d’auto-entrepreneur ou le service à la personne. En ce qui concerne la formation exigée, même si aucun diplôme n’est nécessaire pour se lancer, il existe néanmoins une réglementation si vous utilisez des produits phytopharmaceutiques ou des biocides.

Les critères subjectifs

A cause de son vaste champ d’application, le métier de paysagiste exige une attitude précise quand on commence. Il s’agit de privilégier la dimension humaine et de développer des rapports chaleureux avec vos potentiels clients. N’hésitez pas par exemple de préciser à vos clients que vous commencez dans le métier. Ne cachez pas votre inexpérience et privilégiez une relation de confiance qui permettra de fidéliser vos clients

Les conseils à savoir pour devenir maçon à son compte ?

Il faut bien se le dire, la maçonnerie est un métier particulièrement physique. Même si les conditions de travail se sont nettement améliorées avec l’évolution des technologies qui permettent notamment de tracter les charges lourdes par des machines, l’exécution du gros œuvre des bâtiments nécessite toujours une dépense physique importante. Toutefois, c’est un métier qui a des perspectives d’emploi satisfaisantes. Ainsi, si vous voulez vous lancer à votre compte, voici quelques conseils qui vous seront d’une grande utilité.

Le cursus académique

Parce que c’est un métier spécialisé, la maçonnerie commence par l’obtention d’un diplôme dont le degré va dépendre de vos motivations. De manière formelle voici la liste des diplômes qui vous donnent accès au métier de maçon.

– Le CAP en maçonnerie
– Le CAP constructeur en béton armé du bâtiment
– Le BP maçonnerie
– Le BAC professionnel technicien du bâtiment
– Le BAC professionnel intervention sur le patrimoine bâti, option maçonnerie
– Le BTS bâtiment.

Une option informelle peut aussi déboucher sur la qualification professionnelle en tant que maçon. Il suffit dans ce cas de bénéficier d’un minimum de trois années d’expérience.

Les procédures

Si votre intention est de vous mettre à votre compte, il faut observer certaines normes sur le plan administratif. Vous devez notamment vous inscrire auprès de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat et choisir le régime juridique de votre entreprise. Vous devez aussi participer au Stage de Préparation de l’Installation. Après l’obtention de votre numéro SIRET, vous pouvez commencer à exercer.

Il faut noter que le chiffre d’affaires de l’activité de maçon en tant qu’auto-entrepreneur se plafonne à 33 200 € appelé  » plafond de franchise de TVA » et 70 000€ appelé « plafond du statut auto-entrepreneur« , vous avez l’obligation de faire vos déclarations mensuellement ou trimestriellement même si votre chiffre d’affaire est nul. Pour ce qui est de l’assurance, vous n’êtes pas tenu de prendre une assurance décennale mais le mieux c’est d’y souscrire.

Quelles sont les qualités indispensables pour devenir serrurier à son compte ?

La serrurerie est une activité qui exige de l’adresse, un certain sens de la créativité et des connaissances techniques permettant notamment de déchiffrer les plans et documents des différents projets. Un artisan serrurier doit également savoir communiquer avec ses éventuels clients car le côté humain joue un rôle important dans l’auto-entreprise. Cependant, pour être son propre patron de manière légale, il faut commencer par des préalables précis.

Le cursus

Selon le critère académique, plusieurs formations donnent accès à la qualification de serrurier. Tout dépend évidemment de vos objectifs. Au niveau de l’enseignement secondaire, vous avez la possibilité de choisir entre plusieurs diplômes.

– Le CAP serrurier métallier
– Le CAP ferronnier
– Le BP serrurerie métallerie
– Brevet des métiers d’art ferronnier
– Le Bac professionnel de bâtiment option métallerie
– Le Bac professionnel menuiserie aluminium verre

Après le Bac, vous pouvez obtenir le BTS constructions métalliques ou le BTS enveloppe du bâtiment.

Pour ce qui est de la formation professionnelle, vous avez au premier niveau de qualification les formations menuisier aluminium, ferronnier et métallier. Le niveau Bac équivaut à la formation de dessinateur d’ouvrages de métallerie. Pour le niveau post bac, vous pouvez devenir technicien supérieur d’études en construction métallique.

Les démarches administratives

En fonction de l’importance de votre entreprise, après avoir choisi le régime juridique, vous pouvez vous enregistrer soit à la chambre des métiers et de l’artisanat ou alors à la chambre de commerce et de l’industrie. Si votre dossier est complet, le délai de réponse après son dépôt ne devrait pas dépasser la semaine.

Dans l’exercice de l’activité certaines obligations sont également nécessaires. Entre autres, le serrurier doit indiquer ses tarifs en TTC. Les tarifs de toutes ses prestations doivent être clairement lisibles et sans équivoque. Il doit aussi préciser la gratuité ou non du devis.

Comment devenir artisan carreleur à son compte ?

Comme pour la plupart des métiers spécialisés de l’artisanat, l’activité de carreleur est un métier qui offre des perspectives satisfaisantes. On observe en matière de débouchés, une évolution constante au fil des années. Se lancer sur cette voie semble donc être une bonne décision.

Cependant, ce n’est pas tout de vouloir mais encore il faut pourvoir le faire. De fait, il est impératif de satisfaire à certaines conditions sur plusieurs domaines avant de pouvoir exercer officiellement en tant que carreleur.

Les qualités requises

Le carreleur est un artisan qui a en charge la pose du carrelage et de divers éléments décoratifs. Son travail de finition détermine l’esthétique d’un espace. C’est donc un métier de précision et d’artiste qui comporte de ce fait exigences précises.

Outre la connaissance des normes et textes en la matière, il s’agit d’être minutieux dans la prise en compte des différentes mesures nécessaires à la pose des éléments. La même minutie est indispensable lors de ladite pose. Le carreleur devra également bénéficier d’un esprit créatif et d’un excellent sens de la décoration.

Le cursus académique

Etre carreleur exige une qualification professionnelle. Selon votre âge et vos motivations, vous choisirez de suivre dès le départ un cursus adapté ou de procéder à une reconversion. Quoi qu’il en soit, vous devez posséder l’un des ces parchemins :

– CAP carreleur-mosaïste
– BP carrelage mosaïste
– BAC professionnel aménagement et finition du bâtiment
– BTS aménagement finition
– DMA décor architectural option décor du mur
– Titre de carreleur AFPA

Les conditions administratives

Quel que soit le statut juridique que vous comptez obtenir, mettre sur pied une entreprise de carrelage impose aussi des normes administratives.

– Stage de préparation à l’installation obligatoire auprès de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat
– Autorisation obligatoire de conduite des engins automoteurs et des appareils de levage
– Obligation de présenter un devis pour les prestations proposées
– Assurance décennale
– Respect des normes de sécurité et gestion des déchets.