Chauffagiste à lyon, les critères à vérifier avant de faire appel à un chauffagiste ?

Tout le monde peut avoir des difficultés avec son chauffage. Dans ces moments-là, le premier réflexe de tout un chacun, c’est de faire appel à un chauffagiste. Mais la première idée qui nous vient à l’esprit n’est pas toujours la bonne contrairement à la croyance populaire. Avant de faire appel à un professionnel, certains critères sont à vérifier.

Quelques vérifications à faire

La chaudière ne fonctionne plus. Elle coule. Elle ne renvoie plus d’eau chaude. Ne paniquez pas. Tout d’abord, dans la limite de vos moyens, demandez-vous déjà si vous pouvez agir à votre propre niveau. Par exemple, pour la bonne marche de l’appareil, une expulsion d’eau froide permanente peut subvenir d’un mauvais branchement. Dans ce cas de figure, il est vivement recommandé de vérifier l’état des branchements. Mais également celui du système électrique, en effet, il pourrait y avoir des disjonctions.

Par ailleurs, certains fusibles, branchés sur la chaudière, peuvent être défectueux. Par voie de conséquence, la chaudière ne peut fonctionner correctement. Si c’est le fusible le fautif, dans ce cas-là, changez-le. N’oubliez pas quand même de contrôler après le changement de fusible. Mais bon certaines pannes de chaudière dépassent complètement les quelques vérifications que nous venons d’entrevoir.

Dépannage par un professionnel

Si les vérifications ne sont pas concluantes, dans ce cas-là l’intervention d’un dépanneur chauffagiste est la seule solution qui s’offre à vous. En contactant un professionnel chauffagiste, il répondra rapidement à votre appel. Opérationnel immédiatement, il est joignable tous les jours de la semaine. Ainsi, il saura établir un diagnostic efficace et apportera une solution adéquate à votre souci de chauffage. Par exemple, pour un dépannage dans la ville de Lyon ou dans ses alentours, un chauffagiste de Lyon se déplace à votre domicile pour régler votre chaudière, et ce, à un prix défiant toute concurrence.

Comment devenir serrurier professionnel ?

D’aucuns diront que le métier de serrurier est en perte de vitesse et qu’il à tendance à disparaître, ils se trompent lourdement, c’est même tout le contraire, le secteur de la serrurerie métallerie est guetté par la pénurie, le manque d’ouvrier qualifié et de créateurs d’entreprises laisse un vide dans un secteur pourtant en plein essor et la demande sur le marché du travail est importante.
Les techniques suivent le progrès technologique (serrure biométrique par exemple) , les méthodes évoluent et s’enrichissent et les futurs ouvriers ont besoin de formation sérieuse et qualifiante afin d’acquérir un savoir-faire qui relève de l’artisanat.

Zoom sur la serrurerie

La serrurerie est un métier d’artisan qui nécessite de la minutie, de la précision et de la patience. Il est primordial, bien évidemment, d’aimer travailler avec ses mains et d’être bricoleur puisque le serrurier est amené à travailler sur des machines à commande numérique ou des outils mécaniques.
Il est amené à être au contact des clients et un bon relationnel est un plus non négligeable.

Le salaire médian d’un serrurier en début de carrière est de 1500 € brut par mois, soit un peu plus que le Smic, cependant un serrurier à son compte peut gagner le double et plus encore, tout dépend de son carnet de commandes. Un serrurier ayant une bonne expérience dans son entreprise peut avoir des responsabilités et encadrer une équipe ainsi son salaire sera bien plus élevé.

Les différentes voies et débouchés

Nous allons aborder dans cet article les différents cursus possibles afin de déboucher sur le métier de serrurier. Certaines filières aboutissent à un large panel de métier dans des domaines comme celui du bâtiment alors que d’autres sont réservés exclusivement à ce métier. Il est à noter qu’aucun diplôme n’est demandé pour devenir serrurier, toutefois, afin d’acquérir un savoir-faire qualitatif, il est préférable de se former auprès d’un organisme compétent et ainsi obtenir une qualification qui donne de la valeur au parcours professionnel de l’artisan.

La voie la plus couramment utilisée est de s’orienter après la 3e vers un lycée technique qui dispense la formation en CAP serrurier-métallier ou un BEP réalisation d’ouvrages chaudronnés et de structures métalliques, d’une durée de deux ans ou encore un BEP technique des métaux, du verre et des matériaux de synthèse du bâtiment.

Pourquoi le mot métallier est-il associé à la serrurerie ? c’est une question qui peut paraître évidente pour certains mais pas forcément pour d’autres. En effet, le travail du métal fait partie intégrante du métier de serrurier et c’est, de plus, un savoir-faire artisanal très valorisé. Le serrurier-métallier assure la pose des serrures, portes blindées, coffres-forts mais il travaille également sur tous les éléments métalliques constituant un bâtiment, tel que les charpenteries, les ossatures, les portes et les fenêtres, les vérandas. De ce fait le CAP serrurier-métallier est plus orienté sur le travail du métal comme la ferronnerie d’art (balcons, portails, grilles, etc). Celui qui veut devenir uniquement serrurier pourra s’arrêter là mais il est conseillé, après l’obtention du CAP, de continuer son parcours scolaire afin de décrocher un autre diplôme de façon à se spécialiser.

Plusieurs voies s’offrent alors à l’étudiant qui voudrait se spécialiser dans la serrurerie, tout d’abord le Bac pro ouvrages du bâtiment : métallerie. D’une durée de 2 ans.
Puis le Bac pro réalisation d’ouvrages chaudronnés et de structures métalliques, également d’une durée de 2 ans et aussi le BAC PRO bâtiment : métal, aluminium verre et matériaux de synthèse.

Les débouchés de ces différents cursus sont intéressants puisque on peut se spécialiser et aussi bien devenir charpentier métallier que serrurier, ferronnier d’art, chaudronnier ou encore soudeur. Il est donc aisé, par la suite, de s’insérer dans la vie active en trouvant un emploi dans une des nombreuses PME qui recrutent (la fameuse pénurie) ou même de monter son entreprise.

Ces diplômes sont suffisants pour devenir serrurier mais l’on peut encore aller plus loin, à BAC +2, avec le BTS Constructions métalliques qui lui ouvre les portes sur de nombreux métiers grâce à la réalisation par assemblage d’ouvrages métalliques, ainsi le titulaire du BTS pour travailler sur des projets de voies ferrées, de pont, d’éolienne, etc.

Quant aux personnes qui ne peuvent accéder à ses filières parce qu’elles ont passé l’âge, il reste la solution de l’AFPA (Association pour la formation professionnelle des adultes) qui dispense des formations pour adultes qualifiantes dans les secteurs de la serrurerie et de la métallerie. Ces formations peuvent être financées par pôle emploi ou bien par le compte CPF (Compte personnel de formation), un compte où chaque travailleur accumule des points grâce à ses différents contrats de travail et heures effectuées, points qui servent à financer une formation ou même le permis de conduire.

Être serrurier, ça ne s’improvise pas

Comme abordé un peu plus haut dans l’article, le métier de serrurier n’est pas soumis à une obligation de qualification, comme c’est le cas dans de nombreux autres métiers du bâtiment tel que la maçonnerie ou l’électro-technique. C’est-à-dire qu’il est possible de créer une entreprise de serrurerie sans posséder le moindre diplôme. Cependant, être serrurier ça ne s’improvise pas, il faut avoir de bonnes compétences et il faut surtout le savoir-faire propre au métallier. Par conséquent, des organismes privés proposent des formations non qualifiantes (et payantes) afin d’apprendre le métier.

Par ailleurs, certains agréments peuvent aussi s’acheter. Les personnes suivant ce genre de cours ne peuvent prétendre qu’à être des serruriers dépanneurs et n’ont donc pas les compétences et tout le savoir-faire artisanal du serrurier métallier. Dans cette confusion il peut être difficile pour le client de faire un choix qui lui assurera de tomber sur un professionnel soucieux, compétent mais aussi honnête.

Vous l’aurez compris, le métier de serrurier demande de nombreuses compétences et un cursus adapté est nécessaire de manière à former les futurs serruriers pour en faire de vrais professionnels. En aucun cas une formation non qualifiante de quelques centaines d’heures n’équivaut à 4 ans d’études ou plus et donne l’accès à un savoir-faire artisanal. Heureusement, il est possible de reconnaître les professionnels méritants et formés en leur demandant quel est leur cursus.

Devis fenêtre, comment obtenir un bon prix pour rénover ses fenêtres ?

Vous envisagez de faire changer vos fenêtres ou d’en faire installer sur une nouvelle construction ? Vous allez vite constater que les prix peuvent varier du simple au double. Pour quelles raisons et comment faire baisser la note ?

Les différents types de fenêtres

Le prix des fenêtres est étroitement lié à la sorte d’ouvrant choisi. Il en existe cinq catégories : à la française, abattant, coulissante, oscillo-battant et fixe. Le deuxième élément qui va jouer sur le prix est l’épaisseur de la vitre : double vitrage, triple vitrage ou avec argon. La troisième notion est le matériau de la fenêtre : bien entendu, le bois sera plus cher que le PVC. De plus, si vous décidez de motoriser vos fenêtres, son prix grimpera allègrement.

Les prix peuvent varier selon le matériel, la pose et l’enlèvement éventuel de la fenêtre à remplacer. Il est primordial d’opter pour des fenêtres de qualité qui apportent une isolation satisfaisante et une meilleure longévité. En effet, faire installer des fenêtres de qualité médiocre, c’est l’assurance d’avoir des soucis d’ouverture et de fermeture dans un avenir plus ou moins proche.

Astuces pour alléger la facture

La négociation est l’élément essentiel pour ne pas payer le prix fort. Bien sûr, tout le monde ne possède pas des qualités de négociateur hors pair. Le premier conseil est donc de faire établir des devis par plusieurs artisans de votre région pour faire jouer la concurrence. Il est prouvé que l’on peut, de cette manière, économiser entre 10 et 15 % sur une facture.

Vous pouvez aussi faire calculer des devis en ligne, gratuitement et sans engagement de votre part, pour avoir une base de comparaison avant de vous rendre chez un artisan.
Il ne faut pas négliger non plus de marchander sur les détails : une poignée plus sophistiquée au prix du modèle basique, une finition bien particulière… Cela peut sembler dérisoire mais multiplié par le nombre de fenêtres, l’économie réalisée peut s’avérer conséquente.

Dernier petit conseil : le crédit d’impôt consenti par l’Etat peut vous faire réaliser des économies substantielles. Il concerne les propriétaires d’une habitation principale qui font réaliser des travaux dans le but d’une amélioration énergétique.

Les travaux de jardinage à réaliser au mois de mars

A l’arrivée du mois de mars, c’est le rendez-vous avec le printemps et la régénérescence de toutes les espèces végétales avec la formation de bourgeons pour les arbres, l’épanouissement de fleurs et beaucoup d’autres plantes attendent leur entretien. C’est alors la période propice pour les travaux de jardinage.
Outre les jardiniers professionnels, beaucoup d’amateurs et passionnés auront à consacrer leurs week-ends et journées de repos à des activités d’entretien de jardin où de nombreux travaux nécessitent d’être effectués durant le mois de mars.

Bien entretenir son jardin

De la pelouse jusqu’aux arbres majestueux, chaque espèce qui peuple le jardin nécessite des travaux d’entretien bien spécifiques.
Le principal travail à mener au jardin durant cette période de l’année qui correspond au début du printemps est bien évidemment la taille qui assure un véritable repos à la végétation et leur permet de repousser d’une manière cohérente et admirable.
Pour l’entretien pelouse, le gazon nécessite beaucoup de travail durant la période printanière et parmi les tâches les plus importantes à y mener, il y a la tonte, le désherbage ainsi que l’arrosage.
Pour une meilleure tonte du gazon, il est utile d’adapter la tondeuse pour avoir la hauteur désirée, selon le type de pelouse.

Les arbustes et les haies

Pour ce qui est des haies, il faut savoir que les espèces dont elles sont composées ont un cycle de croissance qui intervient deux fois dans l’année.
C’est pourquoi, les spécialistes recommandent pour vos travaux de jardinage, la taille des haies en deux phases, une fois au printemps et la seconde à la fin de l’été.
Cependant, pour les arbustes, il utile de retenir que seules les espèces qui ne fleurissent pas au printemps peuvent subir des travaux de taille et d’entretien durant le mois de mars.
Dans tous les cas, quelle que soit l’espèce, la taille des arbustes est simple et ne nécessite que la maîtrise des outils qui lui sont dédiés.

Les différents types de chaudières nouvelle génération

Il existe plusieurs types de chaudières nouvelle génération. Elles fonctionnent au gaz, au fioul, à l’électricité, à l’énergie solaire ou aux granulés bois.  Les nouvelles technologies leur permettent de produire plus de chaleur  tout en limitant le rejet de CO2 et de réaliser d’importantes économies.

Chaudière basse température

Son système de chauffe entraîne de sérieuses économies. Elle propose le même confort que celui d’une chaudière classique, tout en chauffant moins. Il est conseillé de faire établir un devis chauffage. Elle chauffe l’eau à environ 50 degrés, alors qu’une chaudière classique est à 90 degrés, ce qui permet d’économiser jusqu’à 15 % sur vos factures. Elle se raccorde à la place de votre ancienne chaudière.

Chaudière à micro cogénération

Elle cumule les fonctions : moyen de chauffage, production d’électricité et d’eau chaude. En plus de l’économie réalisée, la revente de l’électricité, produite en supplément, constitue un apport d’argent supplémentaire. Ce type de chaudière séduit de plus en plus les Français grâce à sa triple utilité. Son combustible peut être du fioul, du bois ou du gaz naturel. La réutilisation de l’énergie émise permet la réalisation d’économies dans trois domaines énergétiques.

Chaudière mixte

Elle permet de conjuguer, ou d’alterner, deux énergies distinctes dans une même structure de chauffage. Elle comprend deux foyers, regroupés dans la même chaudière ou indépendants. On peut passer d’un combustible à l’autre à tout moment, automatiquement ou manuellement. La chaudière mixte se décline en de nombreuses versions : bois/fioul, bois/gaz, bûches/granulés, bois/solaire, électrique/solaire, etc.

Chaudière biomasse

Elle utilise des ressources naturelles : copeaux de bois, paille ou coquilles de fruits. Elle fonctionne comme une chaudière à fioul ou à gaz avec une installation hydraulique qui dispatche la chaleur dans toutes les pièces via un circuit de chauffage central ou un ballon  d’eau chaude. La chaudière biomasse rejette très peu de CO2 et son combustible, venant de l’agriculture, est économique et inépuisable. Il convient de se renseigner sur les aides et subventions attribuables avant d’envisager son achat.

Chaudière  à double combustion

Il s’agit d’un chauffage au bois. Cette chaudière récupère le gaz non brûlé, s’échappant lors de la combustion des bûches de bois, et à le réutiliser en tant que combustible plutôt que de le laisser s’enfuir par la cheminée. Une chaudière à double combustion comprend deux arrivées d’air : une au niveau du sol et l’autre en haut du poêle. La première permet aux bûches de se consumer et la deuxième permet le brûlage du gaz résiduel.